Bon, allez, pour ceux qui n'ont pas pu participer à cette magnifique manifestation qu'est le championnat du monde, voici un petit résumé en photos. A noter, à propos de photos, que les conditions en intérieur ne s'y pretaient pas vraiment... mais ce bon vieux Canon 300D ne m'a pas lâché !
La salle du St Jalob Arena de Bâle, avec un revêtement de sol genre gazon artificiel, apparemment de bonne qualité. Dans l'ensemble, l'organisation a été vraiment à la hauteur, et l'affichage des résultats de très bonne qualité, permettant de suivre au mieux la compétition.
Les joyeux drilles du Quarteron's Club de Giéville, avec lesquels nous avons partagé notre coin de gradins pendant ces trois jours
Première reconnaissance : avec plus de 40 concurrents par reco, ce ne devait pas être très évident !
Les représentants du 6 Pat'Club
En face de nous, en bleu, les supporters italiens. très provocateurs, ces derniers avaient amené une banderole "donne-moi un coup de boule" ! Ils ont bien sûr eu le droit à un concert de sifflets, à des "Zizou, Zizou" et à une marseillaise reprise en force par les supporters français, autrement plus nombreux... A droite, en rouge, les supporters suisses. A gauche, les espagnols, les brésiliens et quelques autres...
Quand l'intendance va, tout va ! (Napoleon)
Martin Eberle, le suisse, avec son extraordinaire caniche Pebbles, champions du monde en "Small". Pour l'anecdote, on voit que la relation entre chien et maître est très... fusionnelle, le caniche n'ayant pas cessé de se frotter sur la jambe de son maître...
Martin Eberle et Pebbles (2)
L'ambiance était, me semble-t-il, moins festive que les autres années. Reste que ce sont encore les supporters français qui ont assuré une bonne part de l'animation...
Macarena etc.
Un affichage de grande qualité, avec tout d'abord le dessin du parcours (juste dommage qu'il ait été fait avec un programme un peu ancien et non avec agilityblues, en couleurs, mais c'est un détail), les concurrents à passer, les dix premiers du classement en cours (avec, cerise sur le gâteau pour les secondes manches, le temps à battre pour prendre la première place). En plus, une équipe vidéo professionnelle de haut niveau qui nous a proposé des montages (comme ici à l'écran) superposant les parcours des 2 meilleurs chronos sur une même image... bluffant !
Reconnaissance du second jour... conséquence du nombre important de concurrents : la rué vers les portions "difficiles" du parcours. En ce qui me concerne, j'ai trouvé les parcours très techniques et intéressants, mais parfois inutilement cassants comme le jumping mis en place le premier jour par la juge finlandaise.
L'ami Kevin avec une concurrente canadienne... Fatigué, le Kevin !
La pause : bière pour tous, sauf pour les plus sages (dont moi évidemment !)
C'est fini ! Comme le veut la tradition, les supporters se mêlent aux équipes pour danser
Les "filles" du 6 Pat'Club avec l'équipe de France
Pour ce qui est des résultats de l'équipe de France, même si nous n'avons pas eu de podiums, j'ai trouvé que, contrairement à ce qu'on nous a rabaché à longueur d'année, les concurrents français n'ont pas du tout été ridicules, côté "vitesse", les chronos et temps cumulés parlent d'eux mêmes. Par contre, il y a un gros boulot à faire du côté "zones" car là, nous avons vu des choses assez extraordinaires chez pas mal de concurrents étrangers... avec une nette tendance à un micro temps d'arrêt en bas de zone. Il y a sûrement aussi un gros boulot à faire du côté encadrement de l'équipe, qui ne m'a pas vraiment -mais c'est mon sentiment personnel- donné l'impression d'être vraiment une "équipe". La base des membres de l'équipe est bonne, pour autant que je puisse en juger et à une ou deux exception près, mais c'est sa cohésion, sa solidarité et sa stabilité qui m'ont sembler être en retrait par rapport aux autres nations